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Luc 13

2024-B-Lc 13, 1-9 - samedi de la 29e semaine ORDINAIRE- le temps que je bêche

Voilà une page qui nous sort d’une orthodoxie rigide où Dieu est vécu comme insensible aux drames humains et loin de nos préoccupations. Elle nous sort d’images punitives de Dieu toujours bien ancrées en nos mémoires et ouvre une fenêtre sur un Dieu de l’autre possibilité pour utiliser une belle image du pape François. Ils n’ont rien fait de mal, ces Galiléens.

2022-C-Lc 13, 22-30 -mercredi de la 30e semaine ORDINAIRE- programme d'amaigrissement

L’intimité avec Jésus n’appartient pas aux seuls croyants. Elle est accessible à tout humain. C’est un droit acquis depuis notre naissance. Nous sommes nés pour entrer en relation avec le Dieu de notre foi. On viendra de l’Orient et de l’Occident, du Nord et du Midi prendre place au festin dans le royaume de Dieu….et ceux qui se croyaient élus et choisis seront jetés dehors.

2022-C-Lc 13, 1-9-samedi de la 29e semaine ORDINAIRE- une Église au péril de ses lois

Le qui es-tu, Seigneur (cf. Ac 9,3-5) de Paul sur la route de Damas est la question d'une vie, à poser et à expérimenter encore et encore. Savoir que nous ne savons pas est l’attitude première de tout priant, de tout mystique. Et le mystique est celui qui regarde le cœur, son cœur, plutôt que de s’arrêter au visible.

2021-B-Lc 13, 22-30- mercredi de la 30e semaine du temps ORDINAIRE- chemin d'humanté

Pour plusieurs, l’évangile de la porte étroite n’est pas une bonne nouvelle tant il faut « arriver » à se dépasser, à être tous les jours meilleurs si l’on veut passer par cette porte, dite étroite. Mal compris, ce texte présente l’image d’un Dieu pervers, punitif, moralisateur, rejetant les non-purs. Songeons au beaucoup [sont] d'appelés et peu d'élus (Cf. Mt 22,14).

Ces images ne collent pas avec d’autres passages d’un Père accueillant les mal-aimés, généreux pour l'ouvrier de la dernière heure, pardonnant l’égarement de la brebis, compatissant le désarroi des disciples d’Emmaüs.

2021-B-Lc 13, 1-9 -samedi de la 29e semaine du temps ORDINAIRE- fléau de Siloé

Quand nous regardons autour de nous, nous voyons perturbation après perturbation. Cela peut pousser au découragement. Pour agir, il faut croire que notre action peut améliorer une situation, croire que nous pouvons contribuer à changer quelque chose. La multiplicité des événements catastrophiques à répétition et le ton constamment négatif des reportages engendrent un pessimisme qui entraine la démobilisation. On ne doit pas oublier que nous sommes de la génération de la restauration (Pape François). À quoi bon d’agir ?

2021-B-Lc 13, 1-9 -samedi de la 29e semaine du temps ORDINAIRE- Dieu interventionniste

Bonne Nouvelle de Jésus-Christ ainsi commence la lecture de l’évangile. Quelle est la bonne nouvelle dans ce massacre des Galiléens qui ressemble drôlement à ceux que nous entendons presque quotidiennement : tremblement de terre à Haïti, incendies dévastateurs dans toutes les régions du monde, dangereux réchauffement climatique. Les dix-huit personnes tuées ne sont pas pires que nous. La bonne nouvelle est dans la réponse de Jésus. Pensez-vous que.

2021-B- Lc 13, 1-9-samedi de la 29e semaine du temps ORDINAIRE- que rien ne te trouble

En lisant ce passage de Luc, me sont venus spontanément ces mots de Thérèse d’Avila : que rien ne te trouble, que rien ne t’effraie ; tout passe, Dieu ne change pas ; qui possède Dieu ne manque de rien. Dieu seul suffit.

Ce récit de la tour de Siloé, nous le vivons presque quotidiennement sous d’autres formes- tremblement de terre, incendie dévastateur, explosion du port de Beyrouth, réchauffement climatique. Ces événements nous placent devant l’obligation d’affirmer que les personnes affectées ne sont pas pires que nous. Leur foi n’est pas moindre que la nôtre. La bonne nouvelle est dans la réponse de Jésus. Pensez-vous que.

2020-A-Lc 13, 1-9 -samedi 29e semaine ordinaire- Dieu est-il responsable de tout ?

Dans les moments de désastre, écrit le théologien polonais et sociologue Tomás Halik, les agents dormants d’un Dieu méchant et vengeur[1] refont surface et répandent la peur et la désolation. Cette vision d’un Dieu vengeur n’est pas celle d’un lointain passé. La récente pandémie a réactualisé chez plusieurs cette question : comment Dieu peut-il permettre cela ? J’entends souvent l’expression c’est toujours à moi que ça arrive. Le fait de se poser en victime, disait le pape dans son homélie de la Pentecôte, est dangereux. Celui qui se prend pour une victime se plaint tous les jours de son prochain : personne ne me comprend, personne ne m’aide, personne ne m’aime, tous sont contre moi ! Qu’ai-je fait à Dieu pour que cela m’arrive ?

2019-C-Lc 13, 1-9 -samedi 29e semaine ordinaire- habiter la lumière et non le noir

La stérilité est dans notre propre regard. Rendre nos regards moins stériles, ça dynamise une journée. Nous avons toujours quelque chose à corriger dans nos regards, dans notre façon de penser, d’agir, de vivre entre nous. Nos regards sont remplis d’impatience comme celui du propriétaire de la vigne.

2019-C-Lc 13, 22-30 -mercredi 30e semaine ordinaire - qui peut être sauvé ?

L’évangile vient de nous confronter avec une question que nous débattons peu entre nous ; une question qui soulève beaucoup d'interrogations aussi. Quel est ce salut annoncé par Jésus? Est-ce seulement un petit nombre qui sera sauvé (Lc 13, 23)? Qu’adviendra-t-il des autres ? Et puis qui peut être sauvé (cf. Lc 18, 26).

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