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Jean 6

2015-B-Jn 6, 24-35- dimanche 18e semaine ordinaire - pourquoi me cherchez-vous ? saveur de miséricorde

Est-ce que nous sommes ici seulement parce que c'est dimanche ? Chacun de nous peut donner différentes réponses à sa présence ici. Mais chose certaine, nous ne sommes pas ici parce que nous sommes meilleurs que les autres. Nous sommes ici pour nous élever un peu plus dans la pratique de la louange de Dieu. Pour goûter un peu plus à la bonté de Dieu à notre endroit. Pour humer à nouveau le parfum de sa miséricorde. Chaque eucharistie s'ouvre sur une demande: prends pitié de nous, Seigneur.

2015-B- Jn 6, 41-51-dimanche 19e semaine - devenir ce que nous entendons; je suis le pain de vie.

Vous connaissez l'expression « il est bouché des deux oreilles »? On a beau expliquer, multiplier les exemples, rien à faire. Il ne comprend rien. Il ne veut rien comprendre. Devant cette page, avons-nous les oreilles bouchées? Le cœur bloqué ? Pour comprendre, il faut écouter. Pour écouter, il faut avoir des oreilles pour entendre. Qu’elle résonne à mes oreilles ta voix (Ct 2, 14). Vous avez des oreilles et vous n'entendez rien (Is 42, 20 ; Mc 8, 18).

2015-B-Jn 6, 51-58 dimanche 20e semaine -vivre en vrai pain de vie... comme des sages

Quelle est la différence entre un repas et un banquet ? Pour prendre part à un banquet, il faut être invité. Un repas n'exige pas d'invitation spéciale. Depuis trois semaines, chaque dimanche, Jésus nous invite à un banquet, préparé spécialement pour nous. La première lecture affirme que c'est la Sagesse elle-même qui nous invite à ce banquet. Cette audace de Jésus, revendiquant d'être lui-même Sagesse de Dieu, a suscité de vives réactions. Cet homme-là n’est-il pas Jésus, le fils de Joseph ?

2015-B-Jn 6, 30-35- mardi 3e semaine pascale- Pain pascal

Je suis la Résurrection et la vie (Jn 11, 25). Je suis le Pain de vie (Jn 6, 34). Ces sont des paroles qui expriment notre immortalité en Dieu. Nous sommes faits pour une vie éternelle. Ce sont des paroles-invitation à changer de perspective. À ne plus s'attacher à des bagatelles, à ces riens qui nous occupent sans pour autant nous combler, mais qui pourtant nous remplissent l'esprit du matin au soir.

2014-A- Jn 6, 60-69-samedi 3e semaine pascale - manger sa chair- incroyable

Le Christ est ressuscité. Il est vraiment ressuscité. Voilà bien le cri quotidien de la liturgie depuis Pâques. Mais où le Vivant se laisse-t-il pressentir ? Où se laisse-t-il toucher ? Se laisse-t-il-voir ? Jean-Paul II répond pour l'Église dans son encyclique sur l'eucharistie (Mane nobiscum Domine, #19): dans l'hospitalité que nous lui offrons. Aux disciples d'Emmaüs qui demandaient à Jésus de rester « avec » eux, ce dernier a répondu par un don beaucoup plus grand : il a trouvé le moyen de demeurer « en » eux par le sacrement de l'eucharistie. Jésus a trouvé le moyen de poursuivre par eux sa visibilité dans l'histoire.

2013 -C- Jn 6, 22-29 - Lundi 3e semaine de Pâques - comment dire l'ineffable ?

Béni sois-tu, toi qui nous donne ce pain. Nous mangeons notre Dieu. Quel admirable et ineffable amour il a fallu, pour inventer cette merveille ! Ce geste dépasse tous les sens. Toute compréhension. Il devrait nous blesser le cœur tellement il est au-dessus de tout. Pour la foule, Jésus était une table recherchée.

Jésus a voulu plus que de se faire l'un de nous, plus que de nous montrer son immense compassion pour nous en s'identifiant à nos souffrances. Plus que de se faire un Dieu nourriture en sachant que nous devenons ce que nous mangeons....

2012-B - Jn 6, 60-69-Dimanche 21e semaine ordinaire - Parole trop dure ?

Ce matin, pour terminer ces dimanches sur le pain de vie, pour terminer aussi cette saison estivale ensemble, une question choc qui nous vient, non de la lecture des textes, mais de la question que Jésus lui-même pose à ses disciples. Jésus est confronté à une situation de crise, pas de n'importe quelle crise mais d'une véritable crise de la foi.

2012-B -Jn 6, 51-58- Dimanche 20e semaine ordinaire -connaissance par l'inconnaissance

Qu'est-ce qui vous déconcerte, vous déroute le plus dans ce passage de Jean ? C'est de nous savoir des invités à un banquet. Il y a une différence entre un repas ordinaire et un banquet. Pour participer à un banquet, il faut une invitation. Heureux les invités au repas du Seigneur. Toute notre vie de foi commence par une invitation : La sagesse elle-même a dressé la table.

2012-B- Jn 6, 24-35 Dimanche 18e semaine ordinaire - l'abondance de pain.

Qu'est-ce qui vous allume ? Qu'est-ce qui vous dynamise, redynamise, vous donne des ailes en écoutant ce récit de Jean ? Une réponse parmi bien d'autres : Jésus voit clair. Très clair. Il comprend vite. Très vite. Cette foule qui le cherchait parce qu'elle venait d'être frappée d'étonnement d'avoir été si abondamment nourrie dans le désert, Jésus l’invite à aller plus loin que de chercher seulement une nourriture pour le corps.

2012-B^-Jn 6, 1-15- Dimanche 17e semaine ordinaire - faims insatiables

Je vous pose cette question : dans cet évangile que nous venons d'entendre et que nous connaissons très bien, trop bien peut-être, qu'est-ce qui vous a le plus émerveillé ? Est-ce de voir Jésus prendre tant de temps pour guérir les malades et jusqu’au soir tombant, dit Matthieu ? Est-ce la demande surprenante de Jésus à ses disciples de nourrir eux-mêmes la foule avec seulement cinq pains d'orge et deux poissons (Jn 6, 10) ?

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