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Jean 4

2023-A-Jn 4, 4-52- dimanche 3e semaine CARÊME- la religion de Jésus

Le monde a toujours été divisé, déchiré en groupes rivaux : chrétiens contre païens, catholiques contre protestants, croyants contre hérétiques, blancs contre gens de couleurs, hétéros contre homos. Etc. Au puits de Jacob, deux mondes différents se rencontrent. Rivalités entre des croyants (les juifs) et les non-croyants (les samaritains).

2013 - C:-Jn 4, 43-54 - Lundi 4e semaine carême -croire sur parole

Ce fonctionnaire royal nous oblige à affirmer que la foi est toujours étonnante. Qu'elle exige un long cheminement. C’est encourageant de retrouver cela partout dans l'évangile. La foi fait poser des gestes étonnants comme celui de cette femme perdant son sang, de cette autre qui réclame des miettes, les restes de sa miséricorde d'abord réservée aux juifs. La foi et notre évangile atteste cela, naît suite à un long cheminent.

2011-A-Jn 4, 43-54- Lundi 4e semaine Carême - ton fils vit

Parole du Seigneur, vient de nous dire Isaïe. Va ton fils est vivant, vient d'affirmer Jésus. Ce sont des paroles qui engendrent, créent un ciel nouveau, une terre nouvelle et qui invitent à ne plus nous souvenir du passé (Is 65, 17). Il n’est pas évident pour ce fonctionnaire royal, païen, de recevoir ces paroles comme accom­plissant ce qu'elles disent, lui qui s'était déplacé pour supplier Jésus de descendre guérir son fils.

2010-C- Jn 4, 43-54- Lundi 4e semaine Carême- la puissance de la Parole

Autant dans la première lecture que dans l’Évangile, la parole de Dieu apparaît réaliser ce qu’elle dit. Devant nos yeux, la puissance de la Parole. Dieu dit: Je vais créer des cieux nouveaux et une terre nouvelle! Jésus dit Va, ton fils vit. Pour Dieu créateur comme pour Jésus rédempteur, la Parole suffit pour créer et recréer. Le Père comme le Fils doivent être crus sur parole. C’est notre foi qui leur rend gloire.

2009-B- Jn 4, 43-54- Lundi 4e semaine Carême - Je vais aller chez toi

Avouons-le, nous avons développé avec un art exquis depuis des décennies – et la théologie a martelé cela avec grande efficacité – le sentiment de notre indignité. Ce sentiment persiste. La liturgie nourrit ce sentiment au moment de la communion : Je ne suis pas digne. Pourtant, l’Évangile est traversé par cet empressement de Jésus, Fils de Dieu, à nous donner de la dignité en s’invitant chez nous.

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