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Recherche dans les textes de "À lire pour vivre"

Année c

2018-C-Jn 15, 15-17- funérailles- un vie offrande

Il est déjà venu en prenant la condition humaine […]; il reviendra de nouveau pour nous rendre participants de sa divinité. Tel est la foi chrétienne que nous rappelle ce temps de l’avent. Camille ne s’est pas contentée d’entendre ces mots : Jésus est venu, il reviendra. Elle a bâti sa vie sur le roc de cette parole. Dans les mots du pape François, sa foi n’était pas seulement un beau maquillage. Elle transfigurait tous les moments de sa vie, incluant les plus difficiles.

2018-C- Lc 1, 46-56 -samedi 3e semaine Avent - vivre à l'envers

Que peut-on chanter de plus grand que le Magnificat ? Que peut-on annoncer de plus beau que de glorifier le Seigneur par sa langue, par sa vie, par son cœur ? Ce chant ouvre des perspectives inimaginables sur comment bien vivre sa vie. Il profile un chemin pour donner à sa vie un tournant évangélique. Un tournant social aussi.

2018-C-Lc 2, 22-35 -samedi octave de Noël- ne pas garder Jésus pour soi

En cette octave de Noël, la liturgie nous invite à regarder un couple, Marie et Joseph, entrant dans le temple pour poser un geste attestant qu’ils sont fidèles à la loi du Seigneur. Au temple, ils présentent à Dieu avec leur enfant, le sacrifice des pauvres (cf. Lc 2, 24).

En présentant à Dieu leur premier né, ce couple confirme en cela son oui initial au projet de Dieu sur lui au moment de leur annonciation réciproque (cf. Mt 1, 18-25; Lc 1, 24-38). La joie de ce couple a un visage : ne pas retenir pour lui Jésus. Son geste atteste que Jésus se garde en le donnant. Un couple, un jeune couple, éprouve la joie de ne pas étouffer leur enfant en le gardant pour eux tout seul.

2019-C- Jn 2, 1-11- 2e dimanche ordinaire - noces de Cana, une épiphanie de beauté

Reprenons les paroles d'un père de l'Église : ils n'ont pas tout bu le vin, car nous en buvons encore aujourd'hui. Le premier geste-commencement de la vie publique de Jésus se résume à ceci : nous en buvons encore. Nous nous en émerveillons encore. Aujourd'hui, ce matin, ici, formant une communauté nuptiale, nous buvons encore de la compassion de Jésus pour nos manques. Nous buvons encore du vin de sa joie. Nous buvons encore son amour à être une présence signifiante dans nos vies. Nous nous émerveillons de son écoute de sa mère qui observait que la joie manquait. Ce récit trace la trajectoire de Marie et celle de Jésus.

2018-C-Lc 1, 39-48 - Notre-Dame Guadeloupe- Juan Diego

Émerveillement. C’était un 12 décembre 1531, Marie, comme c’est son mode fonctionnement, choisit un inconnu, un non instruit, l'indien Juan Diego, pour qu’on élève ici ma petite maison sacrée. Va au palais de l’Évêque de Mexico, et tu lui diras que je t’envoie pour lui révéler combien je désire qu’en ce lieu il m’offre une maison, qu'il me construise un temple dans la plaine.

2018-C-Lc 1, 26-38- Immaculée conception- une belle surprise de Dieu

Quelle belle surprise Dieu nous offre en cette fête de Marie immaculée ! Dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament, chaque fois que Dieu nous surprend, c’est pour annoncer un nouveau commencement dans l’histoire de la foi. Il intervient pour nous sortir d’une foi paralysante, figée dans l’immobilisme du «toujours faire comme avant» (Pape François).

2018-C-Mt 17,10-13 -samedi 2e semaine AVENT- débloquer l'avenir

es exégètes le reconnaissent. Il y a plusieurs allusions de Jésus et du prophète Élie dans les évangiles. Luc fait plusieurs références à Élie. Quand est-il au juste ? Que veulent signifier les auteurs évangéliques avec ces allusions ? La question est de savoir si Jésus est identifié ou comparé à Élie. Jésus est-il le nouvel Élie ou seulement une figure actualisée d’Élie?

2018-C-Lc 1, 5-25- mercredi 3e semaine AVENT- être des familiers de Dieu

Nous venons d’entendre la première description officielle de qui sera Jean Baptiste : rempli de l’Esprit saint, il marchera en présence du Seigneur. Les actions de Jean-Baptiste et le baptême qu’il administrait ne le font pas grandir. Jean-Baptiste est grand parce qu’il marche en présence du Seigneur. Il est grand parce qu’il vit immergé en Dieu. Il marche, vit, agit en présence du Seigneur.

2016-C-Lc 20, 27-40 - samedi 33e semaine ordinaire- monte par le coeur vers moi

Question déchirante, question historique, question qui parcourt chaque étape du croire. De qui sera-t-elle l’épouse ? Cette question en soulève une autre, celle de la continuité de l’humain. Avec cette question, nous sommes au cœur de la foi. Au cœur de mystère de toute vie humaine. La réponse de Jésus nous place dans un autre monde, celui d’enfants de Dieu et enfants de la résurrection (Lc 20, 36 et 38), un monde, non d’opposition, de tension, mais axé sur un vivre ensemble et de notre « incarnation » en Dieu, plutôt que sur les droits individuels.

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