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Luc 7

2012- B- Lc 7, 1-10- Lundi 24e semaine ordinaire- centurion romain -un incroyant-croyant

lire cet épisode ce matin, monte en moi cette réflexion de Madeleine Delbrel la vraie vie de foi se tient et se développe [aussi] en milieu athée. Dans des coeurs athées et agnostiques aussi. Cet itinéraire du centurion pour qui la foi valait plus que tout autre bien du monde, a été rapporté par les évangélistes pour que la foi en Dieu prenne racine en nous. Cette foi non achetable parce que sans prix, a poussé un incroyant, c'est ce qu'on disait de lui parce qu'il ne fréquentait pas les temples ou synagogues, à faire des choses qui n'ont pas d'allure

2011- B- Lc 7, 24-30 -Jeudi 3e semaine avent - des «indignés» en attente d'un sauveur

Souvent, nous nous glorifions de ce que nos paroles soient meilleures que notre vie d’actions. La vie de Jean Baptiste n'est pas de cet ordre. C'est un véritable témoin de la lumière qui nous offre ses yeux de lumière afin que tous croient par lui (Jn 1, 7). Il est le plus grand parce qu'il vivait déjà du message «lumineux» qu'il voyait se réaliser en Jésus. Mais qu'a vu Jean-Baptiste pour se mériter un tel éloge de Jésus ?

2010 -C- Lc 7, 1-10-Lundi 24e semaine ordinaire-: une indignité qui rend digne

Mon étonnement, ce matin, en écoutant ce récit du centurion romain, est de me retrouver devant une indignité qui rend digne, devant une pauvreté qui enrichit. En se disant indigne de recevoir Jésus chez lui - je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit- le centurion se montre digne de recevoir Jésus- je vous le dis, même en Israël, je n’ai trouvé une telle foi. Pour le dire plus clairement, Jésus n’entre pas dans la maison du centurion parce qu’il habite déjà son cœur. Parce qu’il est déjà chez lui, en lui.

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