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Recherche dans les textes de "À lire pour vivre"

Année a

2008-A :Jeudi 3e semaine Pâques -Jn 6, 44-51 je suis le pain de vie

Je fais mien les mots que Philippe adressait au fonctionnaire éthiopien (1re lecture) «Comprends-tu vraiment ce que tu lis ». Et j’entends aujourd’hui encore sa réponse : « Comment pourrais-je comprendre s’il n’y a personne pour me guider »? Comment comprendre que nous pouvons entrer plus profondément dans ce mystère d’un « Dieu nourriture »? Et Philippe, poussé par l’Ange de Dieu, « instruit par Dieu lui-même » (Ev) lui annonça la Bonne Nouvelle de Jésus.

2008-A : Mardi 3e semaine Pâques -Jn 6, 30-35- nous « décoller» de nous-mêmes

«Donne-moi de ce pain » « donne-moi de ton eau pour que je n’aie plus jamais soif » « celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif ». Il y a de quoi là-dedans à nous « boucher les oreilles, à pousser de grands cris » (1e lect) d’incrédulité tant ces paroles dépassent notre expérience humaine. Quand comprendrons-nous que nous venons d’entendre des paroles merveilleuses?

2008-A-Jn 20, 19-31- Dimanche 2e semaine Pâques - nous laisser ressusciter

Nous laisser célébrer par Dieu. Cela peut nous étonner, nous combler de joie aussi. Mais ce temps pascal va plus loin que cela. Il nous appelle à nous laisser ressusciter. Nous laisser ressusciter est l’œuvre de l’Esprit de Dieu en nous. Jésus se manifeste pour nous ressusciter. Pour nous empêcher d’être des morts vivants. Pour que nous soyons « plénitude de vie ».

2008-A-Lc 24, 35-48-Jeudi octave Pâques - le ressuscité apparaît dans l'eucharistie

Hier quand Jésus était en Galilée, il n’était pas à Jérusalem. Quand il en prière, à l’écart, il n’était pas avec la foule. Quand il était dans le temple, on ne le voyait pas dans la ville. Durant sa vie terrestre, Jésus n’était que dans un lieu à la fois. Jésus était vu avec les yeux du corps, touché par des mains intéressées. Il entrait en conversation avec toutes les personnes sur son chemin.

2008-B- Jn 20, 11-18-Mardi octave Pâques - Ressuscité ?

Écoutons cette page avec l’innocence d’une première écoute. Il ne s’agit pas d’une page comme les autres. N’écoutons pas ce récit comme celui de la résurrection d’un autre : Jésus. Ne lisons pas cette page comme un événement extérieur, lointain, dont personne ne fut témoin et qui se serait produit au soleil levant. Ce récit, c’est celui de « mon serviteur qui réussira » disait la 1re lecture du Vendredi saint.

2008-A-Jn 21, 15-19 -Vendredi 7e semaine Pâques - « tu sais que je t’aime »

« Pierre m’aimes-tu? » Nous pourrions comprendre aussi la question autrement : « Pierre où étais-tu? » Différent que de dire « Pierre qu’as-tu fait ? ». Ce qui se dégage de cet interrogatoire de Jésus devrait nous élever jusqu’à l’extase. Ces trois questions nous montrent « combien gros » l’offensé Jésus aime Pierre. Des questions qui laissent entendre que Jésus ne s’arrête pas à des comportements. Jésus préfère dépasser le côté « défaillance », « reniement » pour privilégier l’être profond qu’est Pierre.

2008-A : Jeudi 5e semaine carême - Jn 8, 51-59 : se laisser surprendre par l'inouïe de ce «Je suis»

Si l’une d’entre vous m’exprimait ce matin qu’avant Mère Marie-Rose, elle existait, qu’elle a vu son jour, nous y verrions sans doute un signe évident de perte de mémoire. Il fallait beaucoup de foi pour l’entourage de Jésus dont on savait les origines, fils de Joseph, de la région de Nazareth...

2008- A-Jn 21, 1-4-Vendredi octave Pâques - des yeux du disciple bien-aimé

Il y eut un matin, Jésus se tint sur le rivage et ses disciples ne le reconnurent pas. Ils étaient aveuglés par les événements des derniers qui ont bouleversés leur vie. Ils étaient secoués non seulement par les vagues de la mer, par les vents contraires. « Ils revivaient les ténèbres de l’antique chaos »(saint Pierre Chrysologue). Ils ne voyaient plus rien, ne reconnaissaient plus « leur » Seigneur, leur Jésus. Ils étaient convaincus que tout était fini.

2008-A : Mardi 5e semaine carême - Jn 8 , 21-30 Moi JE SUIS.

Quelle page qui donne de la hauteur à notre quotidien. Qui nous invite à prendre de la hauteur. Comment est-ce possible « d’être d’en haut », de vivre des « choses d’en haut ». La réponse que nous propose saint Jean, est de nous émerveiller devant cette déclaration de Jésus : « je suis d’en haut ». « Quelqu’un qui a perdu la capacité de s’émerveiller, est une personne morte » disait Einstein.

2008-A-Lc 1, 26-38 Annonciation magnificat de Dieu envers Marie

Quand Marie a exprimé son MAGNIFICAT, quand elle a chanté « Mon âme exalte le Seigneur », elle venait d’entendre le Magnificat de Dieu à son endroit. L’annonciation, c’est le MAGNIFICAT de Dieu à l’endroit de Marie. Dieu exalte de joie. Il magnifie la grandeur de Marie. Par la voix de l’Ange, Dieu donne de la grandeur à « son humble servante ». L’annonciation, c’est Dieu qui célèbre la beauté de Marie

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