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Recherche dans les textes de "À lire pour vivre"

Jean 12

2018-B-Jn 12, 44-50- mercredi 4e semaine de Pâques-sois plus en moi qu'en toi

Tout un effacement dans ce passage entendu. Pour la plupart d’entre nous, Jésus est le premier à méditer, à prier, à contempler. Il est celui qui fascine nos vies, inspire notre engagement. À l’exception de la prière de Jésus qui oriente nos regards sur son Père, notre recherche d’une vie spirituelle s’édifie autour du nom de Jésus.

2015-B-Jn 12, 24-26 - les martyrs canadiens: une bande d'amis jetée en terre

Quelle est moderne cette histoire du grain de blé ! Les Jean de Brébeuf, les Isaac Jogues, ils sont plus nombreux aujourd’hui que dans les premiers siècles. Nombreux sont les persécutés, tués, chassés, dépouillés du fait d’être seulement chrétiens (Pape François) qui vivent dans leur corps l’heure de Jésus dont parle saint Jean.

2013 - C: Lundi saint - Jn, 12 1-11 -parfum versé sur Jésus

Je ne dessine pas l’œil, je sculpte le regard. La remarque est du sculpteur Alberto Giacometti qui ajoute : la grande aventure, c'est de voir surgir quelque chose d'inconnu, chaque jour, dans le même visage. Chaque jour, chaque rencontre avec une page d'évangile surtout durant cette semaine sainte, doit faire surgir quelque chose d'inconnu dans le même visage.

2012 -B- funérailles : Jn 12, 24-26 La dernière classe, professeur d'école- -

Nos sociétés écrit Jacques Attali sont de plus en plus fondées sur l'éphémère, privilégiant le court terme et l'immédiat, laissant l'homme dans le vide total face à la seule question que le concerne : qu'est-ce qui arrive après la mort ? Nos sociétés n'apportent à cette question qu'une seule réponse : la distraction...pour nous éviter de penser à la seule question qui nous concerne : l'éternité.

Un poète exprimait que La nuit n'est jamais complète. Il y a toujours au bout du chagrin une fenêtre ouverte. Une fenêtre éclairée....

2011-A-Jn 12, 1-11- Lundi semaine sainte - la grâce du nez

Une femme, Marie dite Madeleine, qui n'avait plus rien à perdre tant sa réputation était peu enviable, que personne ne la considérait tant sa vie dégageait un arôme au parfum de mort, en versant un parfum de grand prix (Mc 14, 3) sur les pieds de Jésus, exprimait non seulement son désir profond de changer de vie mais surtout prophétisait que six jours avant la Pâque, ce parfum répandu, cet onction de Béthanie, allait au sortir du tombeau, répandre dans toute la maison un parfum de compassion qui se compose, précise saint Bernard, de toutes les peines et angoisses des humains, même de ses ennemis. C'est un baume qui guérit.

2009 -B- Jn 12, 22-28- Commémoration des défunts -

Nous sommes les disciples de Quelqu’un qui nous a appris à regarder la mort en face. Les disciples de Quelqu’un qui nous ouvre sur un grand Mystère : nous sommes programmés pour vivre. Aujourd’hui, approcher ce mystère de la mort avec sagesse demande d’entrer dans le secret de la miséricorde de Dieu, de ce Dieu venu nous offrir non une réponse mais nous ouvrir à une espérance : celle du grain de blé qui enfoui dans la terre, se métamorphose en pousses de vie.

2009 -B : Dimanche 5e semaine carême -Jn 12, 20-33 - consécration religieuse

Ce qui est beau dans cette page sommet de l’Évangile de Jean qui ouvre sur l’Heure Jésus, la gloire, c’est que Jésus lui-même nous offre à travers l’image du grain de blé, à comprendre son identité profonde. Il n’est qu’enfouissement, ce qui n’est pas un ornement de sa vie, mais la réalisation même de son être divin. Le grain de blé est heureux écrit François Varillon non pas quand il est dans un grenier, mais quand on l’enfouit dans la terre. C’est pour cela que le grain existe. Quelle belle image pour dire Jésus!

2008-A : Martyrs canadiens- Jn 12, 24-26

Une fête non pour réfléchir sur une histoire passée, mais pour contempler aujourd’hui un itinéraire non révolu. Il s’agit moins de savoir qui étaient ces martyrs (Jean de Brébeuf, Isaac Jogues et leurs compagnons), mais bien qui sont-ils pour nous? Que nous disent-ils aujourd'hui? Ils nous disent – et quelle parole pour notre aujourd’hui de foi tellement perturbée! — que « rien, ni la détresse, l’angoisse, la persécution, la faim, le danger, le supplice ne peut nous séparer de Dieu » (1re lecture).

2005- A- Funérailles temps de Noël- Jn 12, 22-28

"Aujourd'hui dans notre mort a paru la Vie. Aujourd'hui dans notre monde le Verbe est né". Ces mots ouvrent la liturgie des Vêpres de la veille de Noël. Ce sont des mots invraisemblables, presque incroyables tant ils semblent très loin de notre quotidien. Des paroles ineffables, incompréhensibles. Devant ces mots, nous avons plus souvent qu'autrement des oreilles qui n'entendent pas. " Ils ont des oreilles et n'entendent pas" dit Jésus quelque part. Et pourtant ce sont des mots à dire, redire jusqu'à ce qu'ils prennent forme en nous. Jusqu'à ce qu'ils deviennent prière.

2003-B - Martyrs canadiens -Jn 12, 25-26 - une histoire à raconter

Sur le bord du saint Laurent est née une histoire à raconter de génération en génération. Une histoire sainte confiée à la protection de Marie Immaculée. Histoire qui rapporte que des « robes noires »- « véritable martyr vivant » de l’évangélisation selon les mots de Marie de l’Incarnation-, ont accepté d’enraciner dans les cœurs des premiers habitants d’ici la foi au Dieu de Jésus-Christ.

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