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Recherche dans les textes de "À lire pour vivre"

Année b

2009-B- Lc 2, 16,21 Les saints noms de Jésus et de Marie Aa4, 8-13

Qu’ont-ils en commun Jésus et Marie? Ils sont inséparables, presque interchangeables. Tellement inséparables que Grignion de Montfort a ces mots qui devraient nous « affecter » dans le sens mystique du terme : Si vous dites Marie, elle dit Dieu. Elle est tellement unie à son Fils qu’elle devient un même esprit avec lui (1 Co6, 17). Dès l’instant de son Fiat, il s’est noué entre Jésus et elle l’union la plus intime qui soit, que nous appelons l’union nuptiale.

2009-B- Lc 1, 39-47 -Samedi 23e semaine ordinaire-Eph1, 3-6,11-12 saint nom de Marie

Et le nom de la Vierge était Marie. Parlons dit Saint Bernard encore un peu de ce Nom qui est interprété « étoile de la mer » et qui convient si bien à la Vierge Mère. C’estle seul Nom (qui) met en fuite tous les démons. Parlons de ce nom qui nous réhabilite dans notre dignité d’image et ressemblance de Dieu. Nous venons de célébrer la nativité de Marie. Nous célébrons maintenant le nom qui a été la source de tant de merveilles (Saint Bonaventure). Nous célébrons le nom qui au XV11e siècle à Vienne en Autriche, a donné aux chrétiens la victoire sur le sultan des Turcs qui menaçaient de les soumettre à sa tyrannie.

2008-B- Lc 1, 26-38 Immaculée conception Lettre écrite de la main de Dieu

Paul parle dans ses écrits de l’existence d’une lettre plus précieuse que les autres parce que c’est une « lettre écrite non pas avec de l’encre, mais avec l’Esprit du Dieu vivant ». Paul donnait ce qualificatif à la jeune Église de Corinthe « connue et lue par tous les hommes ». Nous pouvons sans errer dans la foi, affirmer que Marie est la plus belle des lettres « écrites de la main de Dieu ». Cette lettre qu’est Marie nous rappelle comme vient de l’exprimer la 2e lecture que Dieu « nous a choisis pour que nous soyons saints et irréprochables sous son regard

2008-B-Mtt 8, 5-11- Lundi 1e semaine Avent - Centurion et sa demande

Ce qui est beau dans cette démarche du Centurion, c’est qu’il ne se regarde pas. Il ne s’arrête pas à sa position sociale de chef important. Son regard se dirige plutôt vers son serviteur malade, vers Jésus. Il s’oublie. Ce qui est beau, c’est l’humilité de cet homme d’affaires, influent qui s’en remet entre les mains d’un Autre, de l’Autre. Ce qui est beau, c’est sa liberté face à son statut social

2008- B- Lc 2,22-35- 5e jour, octave Noël - purification de Jésus- Syméon

Je note d’abord que Syméon se comporte comme chacun d’entre nous. Avant de saluer la mère, il s’est empressé de prendre l’enfant, de le porter dans ses bras. Ce n’est qu’après qu’il se tourna vers les parents comme pour confirmer qu’ils seront toujours second dans la vie de cet enfant. Ce geste que nous décrie Luc fait partie de nos us et coutumes. Devant un nouveau-né, il y a en nous un empressement à nous diriger vers son berceau, à le prendre dans nos bras, accompagné de son inséparable acclamation : Il ressemble à sa mère, à sa petite sœur etc.

2008-B-Lc 1, 26-38 Immaculée- conception --comblée de grâce

Paul parle dans ses écrits de l’existence d’une lettre plus précieuse que les autres parce que c’est une « lettre écrite non pas avec de l’encre, mais avec l’Esprit du Dieu vivant ». Paul donnait ce qualificatif à la jeune Église de Corinthe « connue et lue par tous les hommes ». Nous pouvons sans errer dans la foi, affirmer que Marie est la plus belle des lettres « écrites de la main de Dieu ». Cette lettre qu’est Marie nous rappelle comme vient de l’exprimer la 2e lecture que Dieu « nous a choisis pour que nous soyons saints et irréprochables sous son regard. Il nous a destinés à devenir pour lui des fils ».

2008-B-Lc 1, 46-56 -Lundi 4e semaine avent - Magnificat

Saintes femmes, faisons la fête. Notre Dieu fait son entrée dans le monde. La Parole se fait chair. Réjouissons-nous. Ce Magnificat est un présage d’allégresse. Allégresse qui ne se limite pas à l’admiration mais à entrer dans le mystère dont Marie vient de chanter l’éclat de sa beauté.

Marie vient de chanter que Celui qui vient est, au témoignage de Gabriel, le Fils du Très-Haut, Très-Haut lui-même. Qu’Il vient du cœur de Dieu le Père prendre forme en elle. Qu’Il vient du plus haut des cieux pour entrer dans nos enfers, « comme un homme libre parmi les morts », comme une «lumière qui luit dans les ténèbres et que les ténèbres n’ont pas reçu».

2008-B-Lc 1, 39-48 -Vendredi 2e semaine avent- Notre Dame de la Guadaloupe

Jésus a choisi ses apôtres parmi les moins nobles de son peuple. Ce choix étonnant se poursuit dans cette fête de Notre Dame de la Guadeloupe où Marie a choisi un pauvre indien, n’appartenant à aucune des catégories sociales reconnues de l’époque, quelqu’un de rien, de non crédible comme il le disait lui-même, pour faire connaître à l’évêque son intention de voir ériger en terre mexicaine un sanctuaire à son nom. Marie a choisi un moins que rien pour évangéliser un clergé qui se croyait en possession de Dieu.

2008-B-Mtt 9, 27-31- Vendredi 1e semaine avent- « aie pitié de nous »

Simple constat. Évidence. Jésus n’est vu, ne vient et ne reviendra en ce monde que pour se faire voir. Déjà au début de l’ère chrétienne Théophile d’Antioche répondait à quelqu’un qui lui demandait de lui montrer son Dieu – c’est la même question que notre entourage nous demande - : « Montre-moi qui est l'homme que tu es, et moi je te montrerai mon Dieu ».

2008-B : Mtt 21, 23-27 Lundi 3e semaine avent - par quelle autorité fais-tu cela ?

Qui est Celui qui a le pouvoir de rendre un figuier stérile ? Jésus qui avait faim, vient de condamner à la sécheresse un figuier qui ne donne pas de fruit. Qui est Celui dont la parole impose une telle autorité qu’elle soulève zizanies et incrédulités. « Qui t’a donné cette autorité?» Qui est Jésus pour agir ainsi ? A l’approche de Noël, ici dans ce Temple, Jésus nous révèle quelque chose de son identité.

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