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Marc 6

2010-C- Lundi 5e semaine ordinaire - Mc 6, 53-56 multiples guérisons…. Toucher jésus

Jésus est né dans le but explicite (Lc4,8) de renouveler pour ainsi dire la face de la terre. Il a pris plaisir à se définir comme médecin. Comme divin médecin précise Benoît XV1 dans sa lettre pour la 18e journée mondiale des malades (2010), qui a passé en faisant le bien et en guérissant tous ceux qui étaient au pouvoir du diable (Ac 10,38). Jésus est venu visiter son peuple (Lc7, 16) non en demeurant distant de nous mais en s’identifiant à nous : j’étais malade et vous m’avez visité (Mt 25,36).

2009-B- Dimanche 15e semaine ordinaire -Mc 6, 7-13- deux par deux

C’est deux par deux que nous sommes envoyés montrer qu’Il nous a choisis pour que nous soyons saints et irréprochables, (qu’) Il nous a destinés à devenir des fils par Jésus, (qu’) Il nous a remplis de sagesse et d’intelligence en nous dévoilant le mystère de sa volonté (Ep1, 3-5). Deux par deux pour montrer comme Paul l’exprime aux Corinthiens, que nous sommes le temple de Dieu et que l’Esprit de Dieu habite en nous (1 Cor3, 16). Deux par deux, une manière d’agir parce que celui qui n’aime pas l’autre ne peut prétendre être envoyé pour dire, annoncer Dieu.

2009-B : Dimanche 16e semaine ordinaire- Mc 6, 30-34… se laisser instruire

Les apôtres se réunirent auprès de Jésus et ils Lui rapportèrent tout ce qu’ils avaient fait et tout ce qu’ils avaient enseigné. Voilà bien ce que l’Évangile nous invite à vivre ce matin. Nous rassembler auprès de Jésus pour lui raconter comment nous vivons notre mission de L’annoncer. Il veut savoir comment s’exprime notre joie à parler de Lui. Il veut nous entendre lui décrire les merveilles que l’Esprit saint accomplies. Il veut aussi savoir comment nous vivons les défis que nous éprouvons à devenir Lui.

2009- B : Lundi 5e semaine ordinaire-Mc 6, 53-56 des foules courent voir Jésus

Quand il s’agit de voir Dieu, de reconnaître Dieu en Jésus, nous cherchons des témoins exceptionnels. Ces témoins ne sont pas les chefs religieux, les érudits, les notables, mais des gens ordinaires, la foule. Elle semble avec les démons, les possédés chez Marc, avoir percé le secret messianique de Jésus.

2006-B- Dimanche 15e ordinaire -Mc 6, 30-34 n'emportez rien mais emportez-Le

Venez à l’écart. Reposez-vous un peu. ».
Pour bien faire comprendre combien il est nécessaire d’accorder du repos aux disciples qui revenaient de « leur première mission », pour bien faire comprendre qu’un pause désert leur était incontournable pour leur éviter d’être « des misérables bergers », Marc poursuit en disant : « de fait, les arrivants et les partants étaient si nombreux qu’on n’avait même pas le temps de manger ».

2006-B : Dimanche 14e semaine ordinaire- Mc 6, 1-6 -J'ai peur de ne pas voir Jésus qui passe

Toute la liturgie de ce jour se construit autour des difficultés qu’attendent les messages de Dieu, les Prophètes de tous les temps : Hier, c’était Ézéchiel qui entendit la voix de Dieu lui dire : « Fils d’homme, te t’envoie vers ce peuple de rebelles. Ces fils ont le visage dur et le coeur obstiné ». Le texte ajoute « qu’ils écoutent ou qu’ils refusent, ils sauront qu’un prophète s’est levé » (1er lect).

2005 -A : Vendredi 4e semaine ordinaire- Mc 6, 14-29 la tête de Jean-Baptiste

Heureux ceux que Dieu a choisis pour être au monde qui gémit comme en douleurs de sa naissance. Il fait mûrir toute souffrance, en fruits de paix, en liberté pour que son nom soit sanctifié". Ces mots du poète Didier Rimaud ramassent bien ce que fut Jean-Baptiste. Avant même de parler, dans le sein de sa mère, il prophétisait sur Jésus. Avant même de vibrer à lui-même, de vivre sa propre vie, il a vibré à Jésus. Tellement choisi, choyé par Dieu, qu'avant même de naître, ce n'était plus lui qui vivait mais le Christ en lui.

2004 - C : Vendredi 4e semaine ordinaire -Mc 6,14-29 : fête de Paul Miki : ambassadeur et missionnaire

Ce matin le récit de deux passions qui valent mille mots : celle de Jean-Baptiste, de Paul Miki et ses compagnons dont Pierre-Baptiste Blasquez, franciscain. Ces deux récits furent des portes qui s’ouvrirent sur une ère nouvelle pour leur peuple. Parce qu’ils ont connu une vie donnée à Dieu, qu’ils ont plu à Dieu, ils ont reçu la plus belle de toutes les grâces : celle du martyr que la petite Thérèse désirait tant dans son cloître. Précisons, ils n’ont pas cherché le martyr. Ils l’ont accueilli comme Jésus a accueilli sa mort.

2000-B- Vendredi 4e semaine ordinaire -Mc 6, 14-29 accueil de l’icône de la Trinité

A l’heure où arrive ici l’icône de la Trinité, périclitant d’un monastère à l’autre en cette année jubilaire, je fais mien ces mots de l’antienne d’ouverture de ce jour : je veux, Seigneur, ne jamais me rassasier de ta présence. Oui, en regardant cette icône, ne jamais se rassasier d’habiter ensemble (Ps132), de partager cet harmonieux échange entre le Père qui n’est que communication au Fils, le Fils qui n’est que restitution au Père, et l’Esprit qui n’est que respiration vers le Père et le Fils qui aspirent vers lui (Maurice Zundel).

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