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Mgr Lebel - extraits d'homélies

ALLOCUTION  DE MGR ROBERT LEBEL, lors de son 40e anniversaire d'ordination épiscopale, le vendredi 2 mai 2014.

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  • Jésus-Christ est le seul à faire partie du genre humain parce qu’Il l’a voulu; aucun de nous n’a fait de choix. Il aime tout ce qui est humain. Il veut sauver et promouvoir tout ce qui est bon pour l’homme. (2 mai 1976)

 

  • Un cœur ouvert à Jésus-Christ ne peut que partager son immense amour pour le monde. (2 mai 1976)

 

  • Chers jeunes, nous nous reverrons, nous allons nous comprendre, nous aimer; vous nous aiderez à donner à notre Église, pour aujourd’hui et pour demain, un visage renouvelé et rajeuni à la source évangélique. (2 mai 1976)

 

  • Notre point de contact avec le monde se trouve surtout dans l’action du laïcat, d’un laïcat majeur que les milieux profanes prennent au sérieux grâce à sa compétence et à la consistance de son engagement. (2 mai 1976)

 

  • L’action du laïcat, œuvre divine et colossale, nous incombe à tous, qui formons son Église, son Corps. (2 mai 1976)

 

  • Évêque, prêtres, religieux et religieuses, laïcs, hommes et femmes, jeunes et adultes, nous formons une seule communauté ecclésiale, nous assumons ensemble la responsabilité de l’Évangile. (8 mai 1976)

 

  • Se préoccuper de trouver son pain est peut-être un souci; se préoccuper de  partager le pain est sûrement un souci spirituel. (18 juillet 1976)

 

  • Quand nous aurons su communier au Christ, lui ressembler assez pour que, par notre intervention dans le monde, nos frères humains ne restent plus sur leurs faims et leurs soifs? (16 juillet 1976)

 

  • Notre foi chrétienne est plus que l’acceptation d’un code de morale, l’adoption d’une manière de vivre; c’est l’accueil d’une présence, la présence de notre Sauveur. (20 juin 1976)

 

  • Personne n’a mieux accueilli la Parole et personne ne l’a mieux gardée que Marie, attentive aux Écritures et aux événements, signes de Dieu et soucieuse de les garder dans son cœur. (Luc 5, 21). (15 août 1976)

 

  • Le souci des autres n’est pas un aspect facultatif de la vie chrétienne : c’est une condition de salut, c’est là-dessus que nous serons jugés à la fin. (1er septembre  1976)

 

  • On risque moins de se tromper si on se sent attiré du côté de ceux qui sont désavantagés. C’est là, il me semble, le penchant de Jésus-Christ et de l’Évangile. (1er septembre 1976)

 

  • L’insignifiance est immorale quand elle est voulue et calculée. (10 septembre 1976)