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Pâques

2025-C-Jn 20, 19-31 - dimanche 2e semaine de PÂQUES- baptisés pour devenir bonne nouvelle.

e qui caractérise notre époque est le doute. Est-ce vrai ou est-ce une fausse nouvelle ? Qui dit vrai ? Le doute se retrouve presque à chaque page de l’évangile. Dans sa prison Jean-Baptiste, le plus grand des enfants des hommes, n’est plus sûr de rien. Es-tu celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre ? (Mt 11, 1-11). Zacharie a tellement douté qu’il en a perdu la voix. Marie a demandé comment cela se fera-t-il (Lc 1, 34) ?

2025-C-Mc 16, 9-15- samedi de l'octave de Pâques- voir quoi ?

À la question que Jésus lui posait, l’aveugle répond : fais que je vois. C’est notre demande en ces heures tourmentées de notre histoire où notre regard ne voit que les ténèbres de la nuit. Que nous reste-t-il à voir encore sur Pâques ? Que nous reste-t-il à voir d’un événement dont personne ne fut témoin ? Il nous reste à voir que la lumière brille dans les ténèbres. Même les ténèbres ne sont pas ténèbres, la nuit comme le jour est lumière [Ps 138(139)].

2025-C-Jn 20 1-9- dimanche de Pâques- que nous reste-t-il à voir?

À la question que Jésus lui posait, l’aveugle répond : fais que je vois. C’est notre demande en ces heures tourmentées de notre histoire où notre regard ne voit que les ténèbres de la nuit. Que nous reste-t-il à voir encore sur Pâques ? Que nous reste-t-il à voir d’un événement dont personne ne fut témoin ? Il nous reste à voir que la lumière brille dans les ténèbres. Même les ténèbres ne sont pas ténèbres, la nuit comme le jour en lumière [Ps 138(139)].

2024-B-Jn15, 26-26- 16,12-15 - Pentecôte-vivre en communauté

Nous fêtons ce matin la naissance de l’Église, pas l’institution, mais la naissance d’un peuple de frères, d’un vivre ensemble qui laisse voir le grand projet de fraternité de Jésus qu’il appelle son royaume. Ce beaucoup de choses à vous dire peut se résumer par trois mots : vivez en fraternité. Trois petits mots révolutionnaires. Il n’y a plus ni esclave ni homme libre, il n’y a plus ni homme ni femme (Ga 3,28).

2024-B-Jn 21, 20-25 -samedi de la 7e semaine de Pâques- ce qui ne s'écrit pas

Jean termine son évangile par une bonne nouvelle. Une très bonne nouvelle. Il y a beaucoup d’autres choses… le monde entier ne suffirait pas pour [les] contenir. Jean, l’évangéliste de l’intériorité, appelle à créer à notre tour des mises en œuvre, des paraboles en actes, qui expriment et actualisent la bonne nouvelle. Nous ne vivons pas après l’évangile. Nous sommes aujourd’hui les contemporains de l’évangile. Il s’agit de se souvenir du passé pour regarder l’avenir[1].

2024-B- Mc 16, 15-20 ascension- je place en toi ma renommée

Allez dans le monde entier. Proclamez la Bonne Nouvelle à toute la création. En m’adressant à vous en ce matin de l’Ascension, en rompant pour vous dans cette homélie, selon la belle expression d’Origène, un Père de l’Église, la lettre de l’Écriture que je viens de proclamer, je fais de ma parole humaine, un sacrement de sa Parole. J’actualise le Pain de sa Parole. Ce mystère de dire Jésus est grand. Il présuppose beaucoup de temps consacré à le Regarder, un long travail de contemplation pour Le laisser naître en nous.

2024-B-Jn 16, 23b-28- samedi de la 6ième semaine de Pâques- ce qui ne meurt pas

Nous avons tous besoin de guérir nos regards. Le je suis sorti du Père, venu dans le monde et je quitte le monde n’est pas à comprendre comme une élévation physique de Jésus vers le ciel. C’est pur fondamentalisme. Cette montée de Jésus est autre chose que l’histoire d’Élie qui a permis à Élisée en le voyant disparaître vers le ciel de recevoir un peu de son esprit (2 Roi 2). La vie que l’on croyait fuir nos regards nous est toujours présente. Je serai avec vous tous les jours.

2024-B-Jn 10, 22-30 - mardi de la 4e semaine de Pâques- un Dieu ami

Cette page est très belle. C’est une déclaration émouvante de Jésus qu’il faut savoir écouter. L’écouter dans le sens de la réaliser en nous et non seulement de l’entendre par nos oreilles. Jésus nous dit ouvertement qui il est. Vous ne me croyez pas. Le Père et moi, nous sommes un. Affirmation inimaginable, révolutionnaire, dure à entendre, symphonie de communion qui ouvre sur une vie abondante. Difficile à recevoir, plus difficile encore d’en être témoins.

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